Dans une interview accordée au journal, le directeur exécutif du RNDDH Pierre Espérance salue les avancées enregistrées dans la mise en place du Conseil Présidentiel. Selon le défenseur des droits humains, il est temps de combler le vide crée dans le pays à la suite de l’annonce de démission du premier ministre Ariel Henry. Cependant, Pierre Espérance estime anormal que les observateurs puissent être considérés comme membres à part entière du Conseil Présidentiel.