PubGazetteHaiti202005

Laurent Msellati est nommé chef du bureau de la Banque mondiale en Haïti

Laurent Msellati, représentant Banque Mondiale


 Dans un communiqué de presse ce jeudi 1er avril, la Banque Mondiale a annoncé la nomination de Laurent Msellati comme nouveau chef du bureau de la Banque Mondiale en Haïti.
 

Après avoir occupé plusieurs postes dans les régions d’Afrique subsaharienne, du Moyen-Orient  et Afrique du Nord, d’Asie de l'Est  et Pacifique, de l’Amérique latine et Caraïbes, Msellati est nommé cette fois chef du bureau de la Banque mondiale en Haïti. Il sera basé à Port-au-Prince.
 
D’après le communiqué de la Banque mondiale, les priorités de Msellati seront d’orienter l’engagement de la banque mondiale auprès de l’État haïtien, travailler en étroite collaboration avec les partenaires de développement, de gérer le programme et l’équipe du pays et d’apporter son support au personnel de la Banque mondiale en Haïti.
 
 «Haïti a connu plusieurs années difficiles, et les impacts sociaux et économiques de la pandémie de COVID-19 ont été importants. J’ai hâte de continuer notre travail pour supporter le peuple haïtien, axé sur la croissance inclusive et le renforcement de la résilience. Je travaillerai en étroite collaboration avec les principaux acteurs de la société haïtienne pour soutenir les priorités de développement du pays et apporter un appui aux personnes les plus vulnérables », a déclaré Laurent Msellati.
 
 
 
 Laurent Msellati sera chargé d’exécuter d'un ensemble de projets en Haïti d'un montant de 915 millions de dollars américains. Ces projets concernent principalement l’éducation, la santé, le transport, l’énergie, l’agriculture et la sécurité alimentaire, l’approvisionnement en eau et en assainissement, les finances, la gouvernance, la macroéconomie, la protection sociale et l’emploi, et le développement numérique.

 
 Originaire de France, Laurent Msellati, est titulaire d’un master en administration des affaires, en finance et en économie de l’école de commerce Luigi Bocconi (Italie), et d’un doctorat en médecine vétérinaire de l’école nationale vétérinaire de Nantes (France).
 

 

 

Par Fenel Pélissier

Category

Politique

Culture

Economie

Sport